Hello hello ! Et bon mercredi !

Pour aujourd’hui, parlons lecture !

D’aussi loin que je me souvienne les livres ont toujours occupé une place très importante dans ma vie. Et c’est toujours le cas à l’heure actuelle ! D’ailleurs, je commence vraiment à manquer de place dans les bibliothèques de mon appart’, et pourtant j’en ai beaucoup 😅

Je ne sais pas vous, mais pour ma part, je suis de la team livre papier. Rien de plus exaltant que de tourner des pages, d’entendre le crissement de la feuille entre les doigts, d’avoir la sensation du papier sous la peau ou encore de ressortir un ancien livre aux feuilles jaunies et de se replonger dedans avec délectation.

Les livres c’est beau, ça se collectionne, ça se savoure, et ça s’apprécie ! Acheter un livre et pour moi aussi exaltant que de le lire, le processus de choix est quelque chose de propre à chacun, mais qui pour ma part fait partie intégrante du plaisir de la lecture.

Pour cette nouvelle série d’article, j’ai envie de vous présenter des livres que j’apprécie, neufs ou anciens, de tout styles, mais que j’aime beaucoup.

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L’article du jour est donc dédié au livre « Victoire à l’Everest » de John Hunt.

Cet été durant les vacances, je suis allée dans une nouvelle librairie à Chamonix et j’ai découvert une collection très belle à exposer dans une bibliothèque.

Le design de la couverture est très joli, épuré, avec des illustrations, aussi bien sur le devant que sur la tranche, qui permettent un très joli rendu dans une bibliothèque lorsqu’on constitue sa collection.

Les livres de montagne, j’adore. C’est même une passion.

Je suis fascinée par les histoires d’alpinisme, de haute montagne, de dépassement de soi, même si malheureusement elles sont souvent couplées avec des tragédies. Les Alpes sont mon lieu de prédilection, j’ai lu énormément de récits d’ascensions, de catastrophes et de réussites, d’histoires vraies qui se sont déroulés dans cette région que j’aime tant.

Au fil des lectures, j’ai étendu mon sujet à des contrées plus lointaines, comme l’Himalaya avec par exemple le Nanga Parbat, le K2 et bien sûr, le plus célèbre de tous : l’Everest.

En 1953, pour la première fois, le plus haut sommet du monde : l’Everest est enfin vaincu ! Deux hommes parviennent enfin au sommet : Edmund Hillary et Tenzig Norgay.

Au fil des mots on est littéralement entraîné dans ce tourbillon de neige, de crevasses et de manque d’oxygène.

Ce livre est la retranscription de cette expédition, écrit par la personne même qui a dirigé l’ascension.

C’est une façon différente d’appréhender les choses : expliquées avec l’œil de « l’homme de l’ombre », celui qui n’a pas été le premier au sommet mais sans qui rien n’aurait pu avoir lieu.

Et cela donne une saveur particulière à ce récit.

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Et voilà pour le livre que j’avais envie de vous présenter aujourd’hui !

Une jolie référence pour découvrir l’art de l’alpinisme au travers des mots !

À bientôt pour de nouvelles lectures !

So’