Hello hello, et bon mercredi ! J’espère que vous allez bien !
Ici, reprise du rythme habituel, après le chaos du retour de vacances avec un retard monstrueux au travail (team « personne ne fait mon travail quand je suis absente »). J’ai repris mes marques et absorbé un peu le retard. Du coup, je me remets à la lecture le soir !
En parlant de lecture, je vous propose aujourd’hui un retour sur le livre qui m’a accompagnée pendant ces vacances : Furie d’Alex Michaelides.
Accompagnée est un grand mot, car avouons-le, j’étais bien trop occupée à rigoler, faire la fête et boire des cocktails pour vraiment me poser et lire sur de longues plages horaires.
Mais j’ai quand même lu un peu (et terminé ce livre au retour).
Vous voulez en savoir plus ?

La quatrième de couverture :
Lana Farrar, ancienne gloire du cinéma hollywoodien, invite ses plus proches amis à passer des vacances sur Aura, une île grecque paradisiaque. L’endroit est magnifique, mais quand une tempête menace ce week-end idyllique, les pires secrets refont surface et l’irréparable se produit.
Cette histoire a fait la une des journaux du monde entier.
Depuis, beaucoup de rumeurs circulent au sujet de cette nuit terrible. Jusqu’à présent, je m’en suis tenu à l’écart. Je n’avais pas la force de me replonger dans ce que nous avions vécu.
Vous vous demandez qui je suis ?
Je m’appelle Elliot Chase, et ce soir-là, j’étais présent.
Nous étions sept en tout, prisonniers de ce décor sublime.
Mais l’un de nous était un meurtrier.
Les critiques :
Ce livre est un thriller psychologique publié en janvier 2024 chez Calmann-Lévy. L’intrigue se déroule sur l’île grecque fictive d’Aura, où Lana Farrar, une ancienne star hollywoodienne, invite ses proches pour un séjour qui vire au drame lorsqu’un meurtre survient. Le récit est raconté par l’une des personnes présentes sur l’île : Elliot Chase, dramaturge, et écrit dans un style direct où il s’adresse au lecteur.
L’auteur a construit son roman en cinq actes, à la manière d’une pièce de théâtre.
Les avis sur ce livre sont mitigés : pour certains, l’originalité prime ; pour d’autres, on déplore un manque de profondeur et une certaine prévisibilité.
Le style d’écriture de La Furie d’Alex Michaelides est à la fois théâtral, introspectif et manipulateur. Le narrateur, Elliot Chase, s’adresse directement au lecteur. Il commente ses propres pensées, remet en question ses souvenirs et manipule le récit, créant un climat d’ambiguïté constante.
Souvent, le ton utilisé est ironique, presque cynique. Le narrateur partage ses opinions tranchées sur les autres personnages, l’art, la célébrité, le théâtre…

Le style d’écriture repose principalement sur l’atmosphère plutôt que sur l’action. Le huis clos de l’île se ressent dans l’écriture et donne une ambiance particulière.
Mon avis :
Soyons honnêtes, le style d’écriture m’a, au départ, prise au dépourvu. Cette façon de parler à la première personne et de s’adresser au lecteur n’est pas quelque chose à quoi je suis habituée.
Mais on s’y fait très vite.
J’ai beaucoup aimé les retournements de situation, le fait que le narrateur ne soit pas forcément quelqu’un de fiable, et ce cadre d’action à huis clos sur une île.
Je ne m’attendais pas à cette fin et j’ai beaucoup apprécié cela.
Un livre de plus dans ma collection et un nouvel auteur découvert.
Je suis curieuse : connaissez-vous ce livre ? Et les romans au style d’écriture inspiré du théâtre, c’est quelque chose qui vous plaît ?
Rendez-vous en commentaires pour en discuter.
À bientôt.
So’
je pense que cette histoire me plairait, d’ailleurs ça me rappelle un scénario de film (je ne me rappelle pas le titre) ! bonne journée
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